Pourquoi j’ai quitte le luxe. Et si le vetement avait oublie sa mission premiere ?

Et si on avait oublié l’essentiel ?

Dans la mode, on nous pousse à créer, à aller toujours plus vite, à trouver la coupe, la couleur, la tendance de demain.
Créer pour séduire. Créer pour se démarquer. Créer pour produire encore.

Pendant plus de dix ans, j’ai été styliste dans des maisons de luxe à Paris.
J’ai appris à tracer les bonnes lignes, à anticiper les envies, à faire naître des silhouettes.
Mais avec le temps, une question a grandi en moi.
Pourquoi créons-nous ? Pour qui ? Et à quel prix ?

Un jour, c’est devenu évident :
Nous avons oublié que ce que nous créons, c’est un vêtement.

Un objet du quotidien.
Un objet intime.
Un objet qui touche le corps, la peau, l’être.

Nous avons oublié que le vêtement est une enveloppe corporelle.
Qu’il a le pouvoir de soutenir ou de blesser, d’apaiser ou d’agresser, d’élever ou d’intoxiquer.

Cette prise de conscience s’est imposée à moi au moment où mon corps est devenu celui d’une mère.
Quand j’ai allaité ma fille pour la première fois, que sa peau nue a rencontré la mienne — et que mes sous-vêtements en fibres synthétiques ont révélé leur incongruité.
À ce moment-là, j’ai compris.
Le vêtement est un soin. Ou il ne devrait pas être.

C’est ce jour-là que PRESTESSE est née.

Une réponse.
Un engagement.
Un retour à l’essentiel.

PRESTESSE est un vestiaire seconde peau.
Pensé pour accompagner le corps, sans le contraindre.
Pour sublimer, sans travestir.
Pour respirer avec lui, pas contre lui.

Ici, pas de plastique sur la peau. Pas de coupe qui comprime.
Juste des matières naturelles, innovantes, choisies avec exigence.
Un toucher, une sensation, une vibration.

Parce que je suis convaincue que le jour où nous prendrons pleinement conscience de l’impact de nos vêtements sur notre corps,
la mode devra changer de direction.

Et PRESTESSE sera là, pour tracer ce nouveau chemin.
Avec toi.